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Channel: Chalabre - carnet-noir
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Roger Boulbès n’est plus

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roger boulbès,toulemonMercredi 1er avril était accompagné vers sa dernière demeure, Roger Boulbès, domicilié à la métairie de Toulemon, et décédé dans sa 95e année. Né le 8 mai 1920 en pays chalabrais où il avait grandi, le regretté défunt avait effectué sa dernière année de scolarité dans la classe de M. Antoine Pons. Après le décès accidentel de ce dernier, Mme Marie-Jeanne Pons, sa veuve, avait assuré les cours afin que Roger Boulbès et ses camarades, puissent présenter leur examen de fin d’études. Il rejoindra ensuite l’exploitation familiale aux portes de Montbel, avant d’être affecté à un groupement de chantier de jeunesse dans le secteur de Saint-Gaudens, de mars à novembre 1941.

De retour au pays, il reprend son activité d’agriculteur, et loue ses services au titre de saisonnier, pour l’entreprise Jean Raynaud (fourrages), et une scierie mobile installée dans le bois voisin du Parégas. En novembre 1952, succédant à ses parents, il prend les rênes de la métairie et se lance dans la production laitière. Venus de Cerdagne en train, depuis La Tour de Carol jusqu’à Foix, et à pied depuis la cité fuxéenne jusqu’à Toulemon, les ruminants feront les beaux jours d’une métairie qui prospère.

Il rencontre et épouse Jeanne Robert, une jeune fille d’Ouveillan aux côtés de laquelle il s’apprête à voir grandir Yvette et Jean-Pierre, leurs deux enfants. Mais en 1958, le malheur frappe la petite famille, avec la disparition brutale de Jeanne. Roger Boulbès poursuivra sa charge d’exploitant à la ferme, initiant dans le même temps ses enfants, à l’entrée dans le monde des adultes. En 1980, il opte pour une dernière reconversion, lorsqu’il cesse l’activité laitière pour la production de viande. Toujours actif malgré son grand âge, Roger Boulbès s’était résolu à lâcher le volant de son Massey-Ferguson, à l’âge respectable de 92 ans.

Après un dernier hommage rendu en l’église Saint-Pierre, Roger Boulbès a été inhumé dans le caveau familial où il repose aux côtés de Jeanne son épouse. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Yvette et Jean-Pierre ses enfants, à Fabienne sa belle-fille, à son beau-fils Alain, à William son petit-fils, à Jeanne sa sœur, à toutes les personnes que ce deuil afflige. 


Josette Castella n’est plus

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Josette Castella Journal.jpgJeudi 2 avril, un dernier hommage était rendu à Josette Castella née Folchet, domiciliée avenue Auguste Cathala, et décédée à l’âge de 91 ans. La regrettée défunte était née le 28 septembre 1923 à Chalabre, où ses parents tenaient le bureau de tabac, place du marché. Les Chalabrois conservent le souvenir d’Auguste, son père, personnage haut en couleur.

Malgré des aptitudes scolaires reconnues, Josette commencera à travailler très jeune, et elle n’a que treize ans lorsqu’elle découvre l’univers des manufactures de confection locales. Excellente couturière, elle habillera de nombreux Chalabrois, et notamment, en son temps de gloire, dans les années 1960, la fanfare de“ l'Avenir du Kercorb “.

En janvier 1946, elle fonde un foyer avec Jacinto Castella, jeune Espagnol républicain qui après avoir perdu le combat aux côtés des loyalistes de la IIe République espagnole, s'était illustré aux côtés des résistants du Maquis de Picaussel. Cinq enfants grandiront à leurs côtés, mais en 1969, la famille sera éprouvée par le décès de Jean-Paul,le fils aîné, disparu à l’âge de 22 ans.

Entourée des siens, Josette Castella s'est éteinte à 91 ans, et laisse le souvenir de sa vivacité d'esprit, de sa mémoire du Chalabre d'antan, et de sa présence souriante, sous le soleil du Pont-neuf où elle aimait engager la conversation, animée par un naturel très sociable. Inhumée en ce premier jeudi du mois d’avril, Josette Castella repose désormais aux côtés de Jacinto, décédé en décembre 1997.

En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Jacques, Marilyn, Nelly et Roland ses enfants, à ses petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige. 

Guy Dhers n’est plus

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guy dhersUn dernier hommage était rendu tout dernièrement à Guy Dhers, décédé à l’âge de 75 ans. Natif de Chalabre, il avait grandi dans le quartier de la Terre-Blanche, terrain de prédilection sur lequel s’était très vite affirmé le caractère d’un sportif, passionné de la chose mécanique. S’il avait intégré l’équipe de jeu à XIII de l’US Chalabre dès 1955 (photo en fin d'article, accroupi, 2e en partant de la gauche), Guy Dhers pratiquait en parallèle, le sport motocycliste. Ses passages au guidon d’une fringante machine à deux roues ne passaient pas inaperçus, et les plus jeunes prenaient plaisir à observer de loin, les prouesses d’un acrobate franchissant la fameuse Butte de Dhers. A ce titre, il s’était aligné au départ de nombreuses compétitions de moto-cross, sur les circuits de l’Aude et de la Région (photo ci-dessous, Moto-cross de Montréal).

guy dhersAprès une jeunesse chalabroise, il avait quitté le Kercorb afin de tenter sa chance à Paris, où son goût affirmé pour la cascade lui avait ouvert les portes des studios de cinéma. De doublures en seconds rôles, Guy Dhers avait enchaîné les tournages, La balance, Le sang des autres, Le juge Fayard, Le diable au coeur, La naissance du jour … sur des plateaux de cinéma ou pour des séries télévisées (Commissaire Moulin, les enquêtes du Commissaire Maigret, Le Temps des as). Il avait effectué sa dernière apparition à l’écran en 1990, dans le film de Francis Girod, Lacenaire.

Désormais retiré de l’action, il partageait son temps libre entre la capitale parisienne, le front de mer héraultais, et la maison familiale de Chalabre. Sa fibre sportive l’amenait sur les courts du lac de la route de Limoux, où il échangeait quelques balles avec ses amis du Tennis Club du Chalabrais.

Un dernier adieu lui a été adressé le jeudi 9 avril dernier, avant son inhumation dans le caveau familial où il repose aux côtés de ses parents. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Monique sa soeur, à toutes les personnes que ce deuil afflige.  

guy dhers

Jean-Marie Courdil n’est plus

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jean-marie courdilJeudi 7 mai était accompagné vers sa dernière demeure, Jean-Marie Courdil, décédé à l’âge de 74 ans. Né le 9 novembre 1940 à Ste Colombe-sur-l’Hers, il était devenu Chalabrois en 1946, lorsque ses parents avaient choisi de s’installer à la Bâtisse. Après une scolarité terminée à Mirepoix (Ariège), Jean-Marie Courdil avait intégré l’effectif de la manufacture de chaussures Canat. Une rencontre avec celle qui deviendra son épouse l’amènera à prendre un départ vers les Bouches-du-Rhône, où il rejoint sa belle-famille. Jean-Marie Courdil exercera alors de nouvelles activités, pour devenir responsable de secteur au service d’une enseigne de la grande distribution.

A l’heure de la retraite, et après un court séjour en Ariège, il effectue un retour en pays de Kercorb, où il va s’investir au sein du groupe dirigeant de l’US Chalabre XV. Bénévole polyvalent, son efficacité sera très appréciée, soulageant une cheville ici (photo ci-dessous, Octobre 1998), ou surveillant la braise là, aux côtés de son ami Jeannot Guichou, également disparu. Aux petits soins permanents pour les quinzistes du président Julien Bonnéry, Jean-Marie Courdil avait été l’un des artisans d’une brillante saison 2004-2005, couronnée avec un titre de champion de Midi-Pyrénées 4e série.

jean-marie courdil

Passionné de sport, il luttait courageusement contre la maladie, depuis plusieurs années. Un dernier hommage lui a été rendu sous la nef de l’église Saint-Pierre, avant son inhumation dans le caveau familial où il repose à présent aux côtés de Fernand et Mathilde, ses parents. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à ses fils Patrick et Bruno, à Lucas son petit  fils, à Marie-Line, Jacqueline, Christian, Danielle et Philippe, ses sœurs et frères, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

jean-marie courdil

Un vendredi soir à l'entraînement, Jean-Marie et les amis de l'intendance de l'USC XV (avril 2000).

Rose Ancin nous a quittés

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rose ancin,née bonnetMercredi 20 mai était rendu un dernier hommage à Rose Ancin, née Bonnet, décédée à son domicile du Cazal à l’âge de 95 ans. Née le 30 juillet 1920 dans la maison familiale du hameau chalabrois, Rose avait grandi aux côtés de Marie-Louise Viviès et Isidore Bonnet, ses parents, dont elle sera la fille unique. Après une scolarité chalabroise, elle avait intégré l’effectif de la confection Amiel, avant de faire la connaissance de Marcel Ancin, un jeune garçon du hameau voisin de La Prade, sur la commune de Rivel.

Après leur union, le 16 septembre 1949, Rose et Marcel s’établiront définitivement sur les hauteurs du Cazal, où trois naissances viendront égayer leur quotidien. Au-delà des responsabilités familiales, Rose était souvent entourée d’enfants, les siens, mais aussi les petits voisins, qui profitaient également de toutes ses attentions.

Dotée d’une belle santé, Rose qui sentait ses forces la quitter depuis plusieurs mois, avait pu rester à son domicile, où elle s’est éteinte, entourée de ses filles. Au terme de la bénédiction, célébrée en l'église Saint-Pierre, Rose Ancin a été accompagnée jusqu'à sa dernière demeure. Elle y repose à présent aux côtés de son époux Marcel, décédé en mars 2008.

En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à Maryse, Martine et Viviane, ses filles, à ses beaux-fils, à ses petits-enfants et arrière petits-enfants, ainsi qu'à tous les personnes affectées par cette disparition.

Ils nous ont quittés

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Les Chalabrois s‘associent à la peine des familles affectées par les disparitions d’êtres chers, survenues en ces derniers jours du mois de mai. Un ultime hommage a ainsi été rendu à Jacques Salinas, enlevé subitement à l'affection des siens le vendredi 22 mai, à l'âge de 64 ans. Domicilié à Laon (Aisne), il avait accompli une carrière militaire, avant un retour à la vie civile au sein d’un grand groupe énergétique, à Compiègne. Passionné de vélo, il revenait régulièrement en pays chalabrais où réside sa famille. Au terme de la cérémonie célébrée le jeudi 28 mai en l'église Saint-Pierre, Jacques Salinas a été inhumé aux côtés de René, son père, décédé en décembre 2013. Sincères condoléances à Francine, sa mère, à Françoise son épouse, à ses enfants, à ses petits-enfants, à toutes les personnes affectées par cette disparition.

Mercredi 27 mai, le glas sonnait au clocher de l'église de Saint-Martin-en-Haut (Rhône), où une cérémonie religieuse était célébrée à la mémoire de Michel Molin, décédé accidentellement dans sa 60e année. Artisan menuisier, il exerçait sa profession sur le vaste périmètre des Monts du Lyonnais, et descendait fréquemment en Kercorb, où réside sa belle-famille. En ces tristes circonstances, sincères condoléances à Pierrette son épouse, née Gallardo, à Cyril, Marie et Aude ses enfants, à ses petits-enfants, à l’ensemble de ses proches.

Le jeudi 28 mai, était accompagnée vers sa dernière demeure, Isabel Iglesiasnée Monteiro, décédée à l'âge de 84 ans. Originaire de Aldeia da Ponte, petit village du Portugal où elle était née le 14 septembre 1930, la regrettée défunte avait grandi en Espagne, avant de venir s’installer à Chalabre avec Vicente son mari, décédé en juin 2001. Après un dernier adieu, Isabel Iglesias a été inhumée dans le caveau familial du cimetière de Saint-Pierre. A toute la famille, à Mireille, Maribelle, Jean-Antoine et Jacqueline, ses enfants, ses petits-enfants, sincères condoléances.

Carnet de deuil

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gilbert catrier,irma bernard

La cérémonie des obsèques civiles de Monsieur Gilbert Catrier, décédé à l'âge de 71 ans, sera célébrée vendredi 26 juinà 11 h, au cimetière de Villenouvelle (Haute-Garonne).

 

gilbert catrier,irma bernard

La cérémonie des obsèques religieuses de Madame Isma Bernard, décédée à l'âge de 85 ans, sera célébrée vendredi 26 juinà 15 h, en l’église Saint-Pierre de Chalabre.

Gilbert Catrier n’est plus

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gilbert catrierLa triste nouvelle du décès de Gilbert Catrier, survenu à l’âge de 71 ans, est parvenue de Villenouvelle (Haute-Garonne) où il résidait. Né à Chalabre le 6 janvier 1944, Gilbert avait grandi dans le quartier de la halle, où se tenait le commerce familial. Après avoir fêté ses 18 ans, il « monte à la capitale », et intègre l’effectif des cheminots de la gare d'Austerlitz. Sa passion pour le sport l’amène à rejoindre les rangs de l'équipe corporative de rugby, puis il rencontre Madeleine et fonde un foyer, qui s’agrandira avec la naissance d’un petit Stéphane.

En 1974, une mutation pour le dépôt SNCF de Toulouse-Matabiau, permet à Gilbert Catrier et à sa famille, de se rapprocher du Kercorb. Ils s’installent à Villenouvelle, et Gilbert rechausse les crampons, sous les couleurs cette fois de l’ESV, le club local, avec lequel il vivra de nombreux moments forts, au titre de joueur puis d’entraîneur.

Cette proximité lui permettra de venir régulièrement à Chalabre, notamment lors des festivités sportives en l’honneur du ballon ovale. Qu’importe si le coup d’envoi avait été déjà sifflé sur la pelouse du stade de Mauléon, Gilbert n’hésitait pas à emprunter un short et prêter main forte au quinze vétéran de ses amis Badalucs.

Chacun gardera de Gilbert Catrier, le souvenir d’un personnage très sociable, tout aussi élégant sur les terrains que dans la vie. Vendredi 26 juin, un dernier hommage lui a été rendu, dans le cimetière de Villenouvelle où il repose.    

En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à son épouse Madeleine, à Stéphane son fils, à Marie-Christine, Mireille et Brigitte ses sœurs, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

gilbert catrierGilbert Catrier, avec les copains de Chalabre (José Garcia, Gilbert Catrier, Pascal Pastor, Claude Huillet).  


Carnet noir

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hélène subreville

La cérémonie des obsèques religieuses de Mme Hélène Subreville, née Boyer, décédée vendredi 10 juillet à l'âge de 57 ans, seront célébrées en l'église Saint-Pierre, le lundi 13 juilletà 10 h 30. 

Au revoir Hélène

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hélène subrevilleHélène Subreville laisse un grand vide.

Vendredi 10 juillet, la cité chalabroise apprenait la douloureuse nouvelle du décès subit d’Hélène Subreville, née Boyer, survenu à son domicile de Bon-Accueil à l’âge de 57 ans. Née à Lavelanet le 8 décembre 1957, c’est au cœur du quartier de Terre-Blanche qu’elle avait grandi, avant de rejoindre l’école des Sœurs de St Joseph-de-Cluny, puis le lycée nationalisé mixte de Limoux.

Lorsqu’elle franchi le perron de la maison commune, pour intégrer les services du secrétariat de la mairie de Chalabre, Hélène signe ses débuts dans la vie active, et un long bail au service des administrés. Avec un grand sourire de bienvenue, Hélène aura toujours satisfait aux demandes de ses concitoyens, elle occupait désormais les fonctions de secrétaire générale. 

En 1985, elle avait uni sa destinée avec celle de Jean-Paul Subreville, jeune Chalabrois et ami d’enfance, un bonheur embelli par la naissance de Anne-Laure et Aurélie, leurs deux petites filles. La petite famille s’épanouira autour du commerce familial, tout en s’impliquant très activement dans la vie associative de la cité chalabroise, désemparée aujourd’hui par cette disparition brutale.

Sous la nef de l’église Saint-Pierre, chacun a tenu à rendre un dernier hommage à Hélène, et à témoigner son soutien à ses proches, unis dans la peine. En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à Jean-Paul son mari, à ses filles, Anne-Laure et Aurélie, à Jean-Georges, Christian et Paul-Louis ses frères, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

Isma Bernard n’est plus

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isma bernardLe vendredi 26 juin dernier étaient célébrées les obsèques religieuses de Isma Bernard, née Jouret, décédée à l’âge de 85 ans. Née à Chalabre le 6 décembre 1929, et après avoir fréquenté l’école des Sœurs de St Joseph-de-Cluny, Isma Bernard avait employé sa vie active dans le milieu de la couture, de la dentelle et de la broderie. Nombre de futurs époux de Chalabre et du canton, mettaient régulièrement ses talents à l’ouvrage, pour la réalisation de leur trousseau de mariage. Le 26 septembre 1960, elle fonde un foyer avec son ami d’enfance, Roger Bernard, années de bonheur égayées par les naissances de Patricia et Alain. Domiciliée cours Colbert, Isma profitait d’une paisible retraite, partagée entre des travaux de couture et la visite régulière de ses petits-enfants, heureux de retrouver une mamie discrète, mais très attentionnée.

La cérémonie célébrée en l’église St Pierre a permis de lui rendre un dernier hommage, avant son inhumation dans le caveau familial. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Roger son époux, à Patricia et Alain ses enfants, à Morgane, Yannick et Sophie ses petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

Monique Rosich n’est plus

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monique rosichLundi 24 août, un dernier hommage était rendu à Monique Rosich, née Pagès, domiciliée cours Sully, et décédée à l’âge de 83 ans. Née à Chalabre le 5 mai 1932, elle avait grandi en Kercorb, avant de faire ses premiers pas dans la vie active au sein de l’entreprise de cartonnages Franzone, rue du Pont-Vieux. Elle avait ensuite fondé un foyer avec Raymond Rosich, et tous deux étaient partis vers la Méditerranée et Canet-Plage, où Raymond allait exercer la profession de plombier. De retour en pays chalabrais, un nouvel artisan installera son atelier de plomberie dans des locaux jusqu’alors affectés au service des  postes et télégraphes. Raymond et Monique signent alors un long bail associant confiance et sympathie auprès des Chalabrois, tandis que sept enfants vont grandir à leurs côtés. Profondément affectée par la disparition prématurée d’êtres chers, Monique Rosich aura su donner aux siens la force de continuer à aimer la vie.

Au terme de la bénédiction célébrée en l’église St Pierre, Monique Rosich a été accompagnée jusqu’à sa dernière demeure, où elle repose désormais aux côtés de Raymond, Michel, Michaël et José. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Roger, Anne-Marie, Jean-Paul, Jacques et Claude ses enfants, à ses petits-enfants, à ses frères et sœur, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

Carnet noir

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La cérémonie des obsèques religieuses de Monsieur Volteïo Nogherotto, décédé à l'âge de 92 ans, sera célébrée mercredi 2 décembre à 10 h 30, en l’église Saint-Pierre où l’on se réunira, suivie de l’inhumation au cimetière de Chalabre.

Carnet noir

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Deux disparitions viennent d'endeuiller la cité chalabroise.

La levée de corps de Monsieur Jean Georges Boyer, décédé à l’âge de 66 ans, aura lieu vendredi 11 décembre à 8 h 30, depuis la chambre funéraire, rue d’En Plumet à Chalabre.

La cérémonie des obsèques religieuses de Monsieur Bernard Roques, décédé à l'âge de 65 ans, sera célébrée vendredi 11 décembre à 10 h 30 en l’église de Peyriac-Minervois, suivie de l’inhumation au cimetière du village.

Volteïo Nogherotto n’est plus

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volteïo nogherottoMercredi 2 décembre était accompagné vers sa dernière demeure, Volteïo Nogherotto, décédé à l’âge de 92 ans. Né le 12 juillet 1923 à Oderzo, dans la province de Trévise (Italie), le regretté Volteïo avait passé son enfance dans sa ville natale, avant de rejoindre le monde du travail dès l’âge de 11 ans, en qualité de valet de ferme. En 1946, il tentera avec deux amis, de franchir la frontière à pied, par le col du Petit Saint-Bernard.

Volteïo découvre alors le pays de France, et le travail de la mine, à La Grand Combe. Il part ensuite dans le Gers où il renoue avec le monde de l’agriculture, et en 1948, c’est le retour aux sources. Il épouse Marie, et tous deux rejoignent la France à Montcalm (Gard), où ils sont employés comme ouvriers dans la viticulture. Volteïo deviendra Chalabrois lorsqu’il décide de prendre la propriété de Saint-Martin en fermage, avec Fernand et Oreste ses frères. Dans l’intervalle, Volteïo et Marie voient grandir à leurs côtés, leurs deux filles, Nadia et Renée. En 1980, Volteïo prend la retraite et s’adonne à deux passions, la cueillette des champignons et la recherche des escargots. Avant que la maladie ne le prive depuis 1999, de ses sorties au grand air.

La cérémonie religieuse a été célébrée en l’église Saint-Pierre où un dernier hommage lui a été rendu, avant son inhumation dans le caveau familial où il repose aux côtés de son frère Oreste. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Marie-Thérèse son épouse, à Nadia et Renée ses filles, à son frère Fernand, à Jérôme son petit-fils, à toutes les personnes que ce deuil afflige.


Ils nous ont quittés

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bernard roques,jean-georges boyer,alain tomasella,jean auziasLes Chalabrois s‘associent à la peine des familles affectées par les disparitions d’êtres chers, survenues en ces derniers jours de l'année 2015. Un ultime hommage a ainsi été rendu à Bernard Roques, natif de Chalabre, enlevé à l'affection des siens à l'âge de 65 ans. La cérémonie religieuse célébrée le vendredi 11 décembre en l’église de Peyriac-Minervois, a permis de témoigner soutien et sympathie à ses proches. Sincères condoléances à Gisèle son épouse, à Sébastien son fils, à toutes les personnes affectées par cette disparition.

Le vendredi 11 décembre, un dernier adieu était adressé à Jean-Georges Boyer, décédé à l’âge de 66 ans. Né à Chalabre le 3 décembre 1949, il avait fait carrière dans la gendarmerie, avant de revenir en Kercorb à l’heure de la retraite. Sincères condoléances à Magali et Sébastien ses enfants, à Christian et Paul-Louis ses frères, aux personnes touchées par ce deuil.  

Le mardi 22 décembre, était accompagné vers sa dernière demeure, Alain Tomasella, décédé à l’âge de 55 ans. Une messe a été célébrée en l'église Saint-Pierre par l’abbé Paul Delpech, avant son inhumation dans le caveau familial, aux côtés de son père Cyrille, décédé en 1985. Sincères condoléances à la famille.

bernard roques,jean-georges boyer,alain tomasella,jean auziasLe mercredi 23 décembre, une cérémonie religieuse était célébrée en l’église du Sacré-Cœur de Carcassonne, à la mémoire de Jean Auzias, décédé à l’âge de 92 ans. Au terme de l’office, Jean Auzias a été inhumé dans le mausolée familial du parvis de l’église Saint-Pierre à Chalabre, où il repose désormais aux côtés de Jean-François son fils aîné, et Geneviève, son épouse. Sincères condoléances aux personnes affectées par ce deuil.

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robert bisiauxLa cérémonie des obsèques religieuses de Monsieur Robert Bisiaux, décédé jeudi 14 janvier à l'âge de 72 ans, sera célébrée lundi 18 janvierà 14 h 30 en l’église Saint-Pierre de Chalabre, suivie de l’inhumation au cimetière du village.

Un dernier au revoir peut lui être adressé à la chambre funéraire de Chalabre.

Robert Bisiaux n’est plus

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Lundi 18 janvier était accompagné vers sa dernière demeure, Robert Bisiaux, décédé en son domicile du Quartier du Moulin à l'âge de 72 ans. Originaire de la région Nord-Pas-de-Calais, « Bob »était né le 29 décembre 1943 dans les corons de Wallers. Son père est mineur de fond et Robert s’épanouit au sein d’une grande famille de treize enfants. Puis il épouse Thérèse et quatre enfants vont grandir à leurs côtés. Ouvrier qualifié employé dans une entreprise productrice d’amiante-ciment, il y exercera durant vingt-cinq années, avant un licenciement économique et un nouveau départ en Roussillon. Ses compétences en qualité d’électricien, chauffagiste et peintre, lui permettent d’intégrer le lycée Ste Louise-de-Marillac à Perpignan.

robert bisiauxLe sourire de « Bob » s’est éteint.

Les premiers ennuis de santé se déclarent, et Robert va découvrir alors le pays audois où il rencontre Marie-Ange et fonde un nouveau foyer. Sa gentillesse et sa générosité font également le bonheur de Benjamin, Judicaëlle et Aubin. Robert est heureux en pays chalabrais où il prête ses services, s’adonne au bricolage et au jardinage. Sa joie de vivre est communicative mais ce père et grand-père aimant et tendre, vient de perdre son combat courageux contre la maladie.

Un dernier hommage lui a été rendu en l’église St Pierre, avant son inhumation dans le caveau familial. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Marie-Ange son épouse, à Benjamin, Marie-Alice, Aubin, Judicaëlle et Corinne, Yvan et Séverine, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

robert bisiaux

Les ailes du moulin de Robert sous la neige, en janvier 2010.

André Cathala n’est plus

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andré cathalaJeudi 11 février, un dernier hommage était rendu à André Cathala, décédé à l’hôpital des Hauts de Bon-Accueil, à l’âge de 80 ans. Natif de Montjardin, cadet de six garçons dans une fratrie de dix enfants, André Cathala avait grandi aux Vinsous où Marius et Marie, ses parents, étaient agriculteurs. Il résidera ensuite à la ferme de Segovent, sur les hauteurs de Chalabre, où il fera la connaissance de Denise Farré qu’il demande en mariage en 1961. Deux enfants naîtront de leur union, et la petite famille ira s’installer à la ferme des Paillous, sur la commune de Villefort.

Ses activités auront été multiples, il est d’abord ouvrier en maçonnerie dans l’entreprise René Horte, puis il intègre la manufacture de chaussures Canat. Il s’installera au final comme agriculteur sur l’exploitation familiale, où il coule des jours heureux, entre le travail et ses passions, la chasse et la pêche. En 2000, une grave maladie le frappe, puis il a la douleur de perdre son épouse en 2005. En 2006 il entre à l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques, avant de rejoindre l’Ehpad des Hauts de Bon-accueil, où il s’est éteint le mardi 9 février.  

En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Nicole et Jean-Luc ses enfants, à ses petits-enfants et arrière petits-enfants, à ses frères et soeurs, à toutes les personnes frappées par ce deuil.

Villefort : Louis Vives n’est plus

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louis vivesLe regretté Louis Vives, lors d’une intervention sur le camp d’internement de Rivel (Photo archives, Rivel Avril 2001).

Mercredi 2 mars, un dernier hommage était rendu à Louis Vives, domicilié au Hameau de Saint-André, enlevé à l’affection des siens à l'âge de 94 ans. Natif de Limoux où il avait vu le jour le 10 janvier 1922, Louis Vives y avait effectué ses études primaires et supérieures, avant de poursuivre à l'école normale d'instituteurs de Carcassonne. Alors que le deuxième conflit mondial fait rage, il est requis pour le service du travail obligatoire et quitte la France le 22 juin 1943. D’abord affecté dans une ferme à Mauer, 25e arrondissement de Vienne (Autriche), il est transféré en novembre 1944 sur la frontière austro-hongroise, où il creuse tranchées et fortifications devant arrêter l’armée russe.

Le 6 juin 1945, il quitte Vienne libérée et entreprend le retour au pays, via Linz, Innsbruck, l’Arlberg, puis la Suisse. Il retrouve la France à Annemasse (Haute-Savoie) le 20 juin 1945, au terme d’un an et 363 jours de déportation du travail. Profondément marqué par cette épreuve, il renoue avec la vie en se préparant au métier d’enseignant, aux côtés de MM. Salvat, Moutou et Blanc, instituteurs à Chalabre et Caudeval.

En cette même année 1945, il fonde un foyer avec Aline Jean, une jeune Villefortoise qui va partager l’existence d’un jeune instituteur nommé à l’école de Joucou (1946), puis à Gaja-et-Villedieu (1952), et Rivel (1957), où il prendra sa retraite le 31 janvier 1977. Chevalier des palmes académiques, Médaille d’honneur départementale et communale argent, Louis Vives aura mené les fonctions d’enseignant et de secrétaire de mairie en milieu rural, apiculteur à ses heures, en parfaite harmonie avec la nature.

Musicien passionné de musique classique, retiré à Villefort, il poursuit ses recherches sur le passé du Kercorb, et participe assidûment à la rédaction des « Murmures du Riveilhou », publication sur l'histoire locale d’un village occitan. Avec son ami Jean Tisseyre, il éditera un document rassemblant les témoignages recueillis auprès de plusieurs survivants du camp d’internement de Rivel (1940-1944), publié en 1992 dans le bulletin de la Société d’Etudes Scientifiques de l’Aude (SESA).

Une nombreuse assemblée réunie en l’église de Villefort, est venue saluer la mémoire de Louis Vives, dont le cercueil était recouvert, selon sa volonté, par un drapeau à trois couleurs. Confectionné pendant sa déportation en Autriche, sa combinaison de travail pour le bleu, son sac de couchage pour le blanc, et un morceau du drapeau autrichien pour le rouge, ce symbole de Liberté l'avait accompagné tout au long de son voyage de retour vers les siens. Louis Vives repose désormais dans le caveau familial, sur les hauteurs de la colline du Casteillas.

En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à son épouse Aline, à Paul-Louis et Claudine ses enfants, à ses petits-enfants, à ses arrière petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige. 

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